- La vérité
La vérité est se qui est en accord avec le réel et la pensé. La
réalité n'est pas toujours vrais et souvent subjective, une vérité
peut donc changer d'une personne à une autre. Une vérité est
souvent l'accord du parti le plus grand, la pensée d'une seul
personne n'est qu'un parti pris. Pourtant certaine personne vont à
l'encontre de l'opinion général et arrive à exprimer un parti pris
qui deviendra vérité (Galilée contre les croyances de son temps).
Le mensonge est se qui cache la vérité, car celui qui ment possède
la vérité. Il faut différencier l'erreur du mensonge, car on est
dans l'erreur lorsque l'on ne possède pas le savoir nécessaire pour
prétendre quelque chose. L'expérience ne prouve rien sauf qu'une
chose est vérifié jusqu'à se que l'on prouve son contraire :
c'est le principe de la science. La science est un raisonnement
poussé pour essayer d'approcher la vérité.
Au fil des textes
Nietzsche pense qu'il est plus simple de dire la vérité car elle
est plus naturel et qu'elle nécessite moins de réflexion. La
communauté existe sur l'accord des vérités. Pourtant le mensonge
n'est pas forcement mauvais, en effet les enfant mentent « en
toute innocence », ou encore lorsqu'il est nécessaire du
moment qu'il ne porte atteint à personne.
''Là où ne peut rien savoir de vrai, le mensonge est permis.''
Nietzsche, I. Humain trop humain (1872)
Machiavel nous apprend comment un prince doit gouverner. Un prince
doit faire preuve d'opportunisme, de fourberie et de mensonge, car le
monde est fait comme ça. Et le plus important est l'image que
perçoit les autres, le but est de paraître.
''Il faut comme je l'ai dit, que tant qu'il le peut, il ne s'écarte
pas de la voie du bien, mais qu'au besoin il sache entrer dans celle
du mal.'' Machiavel, Le Prince (1532)
Lucrèce cherche à comprendre l'importance des sens dans la
perception. Car il bien conscient que les sens peuvent nous tromper
et que c'est à se moment qu'intervient notre esprit. Pourtant
l'esprit, comme les sens sont les seul liens qui nous raccroche à la
réalité. Il en conclu qu'il faut donc se fier à nos sens malgré
ses impaires aussi bien qu'a son esprit.
''[…]
le plus haut degré de confiance doit aller à ce qui a le pouvoir de
faire triompher le vrais du faux.'' Lucrèce, De
la nature des choses
(Ier siècle av. J.C.)
Descartes essaye de ne pas se fier à se qu'il à déjà appris.
Pourtant cela reviens à essayer de ne pas penser à quelque chose
auquel il pense déjà. Il choisit donc de prendre un temps de
réflexion pour ses opinions, ce qui permet d'outrepasser
partiellement ses préjugés, et donc de ne pas prendre un parti
immédiat.
'' [ … ] il est nécessaire que j'arrête et suspende mon jugement
sur ces pensées, [les opinions], [ … ] si je désire trouver
quelque chose de constant et d'assuré. Descartes, Méditation
métaphysiques (1641)
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