samedi 14 juin 2014

  1. La vérité

La vérité est se qui est en accord avec le réel et la pensé. La réalité n'est pas toujours vrais et souvent subjective, une vérité peut donc changer d'une personne à une autre. Une vérité est souvent l'accord du parti le plus grand, la pensée d'une seul personne n'est qu'un parti pris. Pourtant certaine personne vont à l'encontre de l'opinion général et arrive à exprimer un parti pris qui deviendra vérité (Galilée contre les croyances de son temps). Le mensonge est se qui cache la vérité, car celui qui ment possède la vérité. Il faut différencier l'erreur du mensonge, car on est dans l'erreur lorsque l'on ne possède pas le savoir nécessaire pour prétendre quelque chose. L'expérience ne prouve rien sauf qu'une chose est vérifié jusqu'à se que l'on prouve son contraire : c'est le principe de la science. La science est un raisonnement poussé pour essayer d'approcher la vérité.

Au fil des textes

Nietzsche pense qu'il est plus simple de dire la vérité car elle est plus naturel et qu'elle nécessite moins de réflexion. La communauté existe sur l'accord des vérités. Pourtant le mensonge n'est pas forcement mauvais, en effet les enfant mentent « en toute innocence », ou encore lorsqu'il est nécessaire du moment qu'il ne porte atteint à personne.
''Là où ne peut rien savoir de vrai, le mensonge est permis.'' Nietzsche, I. Humain trop humain (1872)

Machiavel nous apprend comment un prince doit gouverner. Un prince doit faire preuve d'opportunisme, de fourberie et de mensonge, car le monde est fait comme ça. Et le plus important est l'image que perçoit les autres, le but est de paraître.
''Il faut comme je l'ai dit, que tant qu'il le peut, il ne s'écarte pas de la voie du bien, mais qu'au besoin il sache entrer dans celle du mal.'' Machiavel, Le Prince (1532)

Lucrèce cherche à comprendre l'importance des sens dans la perception. Car il bien conscient que les sens peuvent nous tromper et que c'est à se moment qu'intervient notre esprit. Pourtant l'esprit, comme les sens sont les seul liens qui nous raccroche à la réalité. Il en conclu qu'il faut donc se fier à nos sens malgré ses impaires aussi bien qu'a son esprit.
''[…] le plus haut degré de confiance doit aller à ce qui a le pouvoir de faire triompher le vrais du faux.'' Lucrèce, De la nature des choses (Ier siècle av. J.C.)

Descartes essaye de ne pas se fier à se qu'il à déjà appris. Pourtant cela reviens à essayer de ne pas penser à quelque chose auquel il pense déjà. Il choisit donc de prendre un temps de réflexion pour ses opinions, ce qui permet d'outrepasser partiellement ses préjugés, et donc de ne pas prendre un parti immédiat.

'' [ … ] il est nécessaire que j'arrête et suspende mon jugement sur ces pensées, [les opinions], [ … ] si je désire trouver quelque chose de constant et d'assuré. Descartes, Méditation métaphysiques (1641)

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