dimanche 16 mars 2014


  1. Les échanges

L’Homme est une personne qui ne peux se passer d’autrui : c'est un être social. En cela il est obligé de partagé sa vie avec les autres, se qui le conduit à échanger des biens matériels (exemple : nourriture) et des biens immatériels (culture). L'échange se base sur l'équivalence de la valeur que les particulier attribut au bien. Le travail est un échange. L'argent est le meilleur moyen pour acquérir un bien pour ça valeur exacte. La différence qu'il existe entre le don et l'échange se traduit par le fait que le don se passe dans un seul sens. C'est un moyen d'affirmer une position, comme un cadeaux ou une marque de puissance. Les échanges ayant une grande importance, elle ont un poids politique.

Au fil des textes

Aristote essaye de définir qu'elles sont les caractéristiques d'une cité. Une cité n'est pas seulement un lieu où se réunissent des personnes et où elles échangent entre elles, mais c'est aussi un rassemblement d' idéologies communes, une histoire et ancêtre. Les échanges ne permettent pas à eux seul de créer les liens pour ériger une cité.
"La Cité n'a [pas] été institué pour le simple effet de se préserver des injustices d'autrui ou d'entretenir commerce." Aristote, La Politique (IVe av J.C.)

Rousseau cherche a définir l'origine des langues. La langue humaine, contrairement à celle des animaux, est l'expression des ses passions. Le besoin des Hommes d'échanger une émotion, de la faire ressentir est le prémisse des différentes langues qui ont ensuite évoluées pour exprimer. Le premier besoin de l'Homme a été de se séparer.
"Ce n'est ni la faim ni la soif, mais l'amour, la haine, la pitié, la colère qui leur ont arraché les premières voix." Rousseau, Essai sur l'origine des langues (1756)

La Fontaine par le biais de la fable montre que la flatterie peu être considérée comme un bien, puisque en échange de celle ci, le Renard perçoit le fromage. L'échange n'est pas équitable, car le Corbeau ne pensait pas celui se passerais de ses manières.
"Cette leçon vaut bien un fromage, sans doute." La Fontaine, Le Corbeau et le Renard (1668)

Marx réfléchie sur l'importance de l'argent dans la société. Or la qualité première de l'argent est de permettre la possession de n'importe quel objet. L'argent est donc une puissance majeur pour ceux qui la possède, elle entraîne donc, des inégalité entre les individus. Pourtant les qualité ne peuvent être acheté, exemple le courage, mais acheter une personne reviens à acheter ses qualités. L'argent rend l'homme moins humain.
''Il [,l'argent,] apparaît alors aussi comme cette puissance de perversion contre l’individu et contre les liens sociaux.'' Marx, Manuscrits de 1844 (1844)

D’Aquin montre que l'échange des possessions ne s'inscrit pas dans le droit naturel, mais dans le droit positif (qui s'oppose au droit naturel) qui désigne l'ensemble des règles dans un État. Droit naturel ,qui pour lui, est le fait de posséder que ce qui nous est propre. Il est aussi dans le droit naturel de donner se que nous possédons en trop. Cette réflexion à pour but de définir l'origine de la propriété.
''Ainsi la propriété n'est pas contraire au droit naturel, mais elle s'y surajoute par une précision due à la raison humaine.'' D’Aquin, Somme théologique (1266-1273)

Locke cherche l'importance de l'argent. Avant la civilisation les hommes pouvait prendre dans la nature le nécessaire pour vivre. A l'inverse il allait contre les ''lois communes de la nature''. Pourtant si cet homme qui possède un surplus de nourriture et cherche à l'échanger contre des denrées durables, cet homme là serait légitime. L'argent permet de palier les contraintes de la nature car il est durable et non périssable.
''Nous voilà parvenus à l'usage de l'argent monnayé, c'est à dire une chose durable, que l'on peut garder longtemps, sans craindre qu'elle se gâte et pourrisse'' Locke, Traité du gouvernement civil (1690)

Weil explique l'importance du dialogue. Le dialogue, chose raisonné, permet de définir lequel des deux interlocuteurs à tort. Le dialogue est nécessaire car il remplace la violence. Les société vivent donc sous un constant dialogue puisqu'elles sont contre la violence. Le dialogue est un échange basé sur une réflexion, contrairement à la violence.

'' Quand on est pas du même avis : il faut se mettre d'accord ou se battre jusqu'à ce que l'une des deux thèses disparaisse avec celui qui l'a défendue'' Weil, Logique de la philosophie (1967)

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