1. La culture

La culture comprend tout se que l'humain se transmet de génération en génération. Elle passe par le biais de l'éducation que les parents apportent à leurs enfants, mais aussi dans se que l'homme à institué et construit donc se qui en opposition avec la nature. La culture est un héritage, car elle passe par la langue, les mœurs, les techniques : La culture est l'ensemble des uses et coutumes.

La culture existe car il existe une communauté. Il n'existe pas une culture unique puisque la culture est universelle dans le sens où elle se retrouve dans chaque ethnie.

Au fil des textes

Merleau Ponty montre que l'homme grandis dans un environnement, la société, où il est naturel d'être humain, c'est à dire d'exprimer ses sentiments quelque soit leur intensité. Pourtant rien n'est naturel chez l'Homme car tout est acquis, et c'est en ce sens qu'il est différent de l'animal, de la vie animal, car se situe au plus loin de la nature.

" Tout est fabriqué et tout est naturel chez l'homme [ ... ] " Merleau Ponty, Phénoménologie de la perception (1945)

Vico cherche à voir s'il existe des coutumes universelles pour montrer l'universalité de la société. Et il trouve en effet trois grandes traditions chez tous les peuples quelque soit leur niveau de

société : la religions, le mariage et l’enterrement des morts. Par conséquent si les Hommes ont créé ces traditions pour sortir de l'état de nature, l'état sauvage, de manière universelle ces institutions préservent la société.

" [ ... ] chez les nations, si sauvages et grossières soient-elles, aucunes action humaine n'est célébrée avec des cérémonies plus plus recherchées et des solennités plus sanctifiées que les rites religieux, les mariages et les sépultures." Vico, La Sciences nouvelle (1744)

Foucault rejoind d'une certaine manière Vico dans le fait que le cimetière est un lieu récurant dans toutes les société et ce depuis leur création. Mais il explique surtout l'importance montante du cimetière au fil du temps, qui passe par le changement des mœurs et de la perception de la vie après la mort.

" [ ... ] à partir du moment où ne l'on n'est plus très sur d'avoir une âme, que le corps ressuscitera, il faut peu être porté beaucoup plus d'attention à cette dépouille mortelle [ ... ]." Foucault, Des espaces autres (1967)

Montaigne montre par comparaison que les "sauvages" font aussi parti d'une société que, donc, la société est universelle. Pour cela il met en avant l'état de nature des tributs, c'est à dire le plus bas niveau de coexistence social. Pourtant le lien faible qui unie les habitants de cette tribut s'apparente à une société bien qu'ils aient l'air plus libre.

" Ils n'auraient pu imaginer un état naturel si pur et si simple, [ ... ] ni croire que le communauté humaine puisse se maintenir avec si peu d'artifice et de lien entre les hommes." Montaigne, Essais (1580)

Lévi-Strauss utilise aussi l'exemple des "tribut sauvages" et il arrive, malgré un point de vue différent à la même conclusion que Montaigne. En effet les Indiens d'Amérique et les Espagnols en tentant de se prouver que les autres sont différents, ils ne font que démontrer qu'ils ont les même pratique et les même raisonnement, qu'en conséquence qu'ils sont tout deux humain en société.

" C'est dans la mesure où l'on prétend établir une discrimination entre les cultures et les coutumes que l'on s'identifie le plus complètement avec celle qu'on essaye de nier" Lévi-Strauss, Race et histoire (1961)

Freud explique que l'Homme est de nature impulsive et dangereux aussi bien pour lui que pour les autres "Homo homini lupus". Que par conséquent tout l’intérêt de la société, la culture, réside dans le fait qu'elle permet de limiter, voir même d’empêcher, ces "pulsions d'agression". De plus qu'elle est la seul qui détient se pouvoir.

" Il faut que la culture mette tout en oeuvre pour assigner des limites au pulsions d'agression des hommes." Freud, Le Malaise dans le culture (1929)

Rousseau expose que la société au lieu de mettre à un pied d’égaliser les hommes, puisqu'ils sont tous régis par les même droits, permet les différences sociales. Puisque de manière logique les Hommes sont dépendant des autres et que par conséquent il y en aura toujours un ou plusieurs pour dominer les autres.

" [ ... ] mais dès l'instant qu'un homme eut besoin du secours d'un autre [ ... ] l'égalité disparut [ ... ]." Rousseau, Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité des hommes (1755)

Marx et Engels montre que la société aurais évoluer suivant les puissants, dans leur cas "la bourgeoisie". Que de manière forcé, elle a centralisé un pouvoir pour uniformiser les différentes nations pour mieux être à sa tête. De plus c'est cette centralisation qui à permis les avancé technologique.

" En un mot, elle [la bourgeoisie] modèle un monde à son image" Marx et Engels, Manifeste du parti commnuniste (1848)